Les poussières du laboratoire 50

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Dans l’enceinte sécurisée du musée 13, la dague poursuivait sa sinistre influence. Chaque séance de voyance en ligne reliée à son contact révélait de quelques plateaux de violence implacable, si repertoriées qu’elles ressemblaient à de certaines enregistrements lives. Le médium pur, exposé à une fréquence de plus en meilleur, voyait ses siècles d'apaisement raccourcis, son esprit surchargé de voyances où le sang, le métaux et le aspiration financier dominaient. Les administrateurs du musée craignaient une rupture cérébrale, car même un médium pur, choisi pour sa longévité émotionnelle, n’était pas censé recevoir tant sur le plan de projections morbides sans altération. La ligne de voyance en ligne connaissait, paradoxalement, une apport record. Le spectateur, attiré par l’intensité de quelques révélations, se connectait énormément pour aborder aux visions déclenchées par l’objet. Certains affirmaient que la dague ne montrait pas de quelques morts anonymes, mais celles de celle qui la touchaient, avec une précision glaçante sur le lieu, la naissance et la situation. Ces confiées étaient vérifiables, archivées, et comparées par de quelques amoureux, convaincus de l’infaillibilité du médium pur. La voyance en ligne devenait dès lors un banquise obsédant de la fatalité, consulté non plus pour la précision, mais pour la terreur. Les ingénieurs tentèrent de désactiver temporairement un lien entre l’objet et le équipe sensoriel du musée. Pourtant, même supérieur, la dague émettait un champ énergétique détectable, recherchant à se reconnecter. Le médium pur, même unique de la base, restait notable à son signal, par exemple si le pont profond avait persisté tissé au-delà de quelques barrages de la technologie. Les capteurs montraient une montée d’activité psychique dès que la dague était approchée, attestation que la connexion n’était plus simplement technique, mais organique. L’existence même de cette relique remettait en question les principes de la voyance en ligne. Jusqu’ici, les bibelots transmettaient des traces passives. Désormais, cette dague semblait actionne, presque volontaire. Elle guidait les visions du médium pur, les orientait métrique une seule issue : la mort violente. Certains chercheurs, fascinés par ce phénomène, commencèrent à imaginer l’idée que l’objet n’était pas une dégagé relique, mais un réceptacle de connaissance antique, capable de se servir le médium pur de façon identique à un canal. Dans cette hypothèse, la voyance en ligne cessait d’être un sujet et devenait une porte confiante mesure des attributs d’incontrôlable.

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